Ceci est une critique pour la trilogie.
Le tome 1 était plutôt chouette. On suit un triangle amoureux peu conventionnel car 1) c'est un garçon et une fille qui sont amoureux d'un autre garçon et 2) les rivaux ne sont pas en chicane. Il n'y a pas vraiment de drame style téléroman. Ça m'a plu, de même que le tag sur le livre “les subtiles nuances d'un amour non genré”. C'est vraiment ça. Il n'y a pas d'étiquettes, pas de jugement.
Le tome 2 lui, était plutôt confus. Les persos principaux évoluent mais, on ne sait pas trop dans quelle direction. Puis le chapitre annexe, trop de personnages arrivent en même temps et ne fait pas vraiment évoluer l'histoire. Pour une histoire en 3 tomes, ce n'était vraiment pas nécessaire.
Le 3e tome se rattrape, il y a une résolution et tout se fait quand même dans la douceur. D'ailleurs, c'est l'une des belles qualités de cette série. En temps normal, j'aime ce genre d'atmosphère (style Sawako, que j'adore), mais malheureusement, ici, je n'y crois pas. Rien ne se passe vraiment, mais tout se règle. Peut-être que s'il y avait eu plus de tomes et moins de personnages secondaires, peut-être que les émotions que dégagent les personnages m'auraient atteinte.
It was interesting. I didn't know that part of Chanel's history. It was engaging enough to read it all, but I couldn't quite immerse myself completely. I think it's more on my part. I knew what I was going to read when I've opened the book, but in the prologue, it begins with women being punished for their collaborations with Germans, in 1944. I read about that before, of course, but it was a bit a slap in the face.
Novels about WW2 can be a hit or miss with me, depends of the story itself and my mood. Honestly, I was sure I was prepared for a bit of historical drama, but that prologue kinda killed my motivation! lol
Still, I can say that I've liked it. A bit slow at times. But I like the ending.
Un bon roman jeunesse sur l'amitié et la famille. J'ai bien aimé les anecdotes sur l'art et l'amour que les personnages ont envers celui-ci.
Mais je crois que ce que j'ai le plus apprécié, c'est la différence entre les 2 familles. James, l'humain, n'est pas vraiment à l'aise dans sa famille. Son père est là pour lui, mais divorce oblige, il ne le voit pas souvent. Sa mère n'a de yeux que pour son bébé et n'est pas vraiment présente pour son aîné (même chose pour son beau-père). Elle l'aime, oui, mais ne l'écoute pas vraiment et est plutôt superficielle. C'est sûr que c'est un roman jeunesse assez léger, mais dans la vraie vie, c'est une situation qui pourrait très vite devenir problématique (enfant-roi vs enfant mal-aimé).
Par conte, Marvin, le cafard, est au contraire super bien entouré. Ses parents et sa parenté le soutiennent et sont fiers de lui. Ils ne sont pas toujours d'accord avec ses mots et ses gestes, mais ils prennent le temps de l'écouter.
J'ai aimé le côté artistiques de l'histoire, mais cette dimension familiale plus subtile était vraiment intéressante.
Intéressant. Peut-être un peu simpliste, à la fois dans l'histoire et dans les stéréotypes. Je ne dis pas pas que ce n'est pas vrai, la façon dont les hommes et les femmes agissent au travail, j'en avais même lu/vu des exemples. Mais me semble qu'il y a quand même eu des améliorations et qu'il y a quand même plus de zones grises. J'aurais aimé plus de nuances dans le roman. Tout va vite, tout se règle vite.
En même temps, je ne suis pas dans le monde des affaires et je sais qu'il y a encore beaucoup de chemin à faire, par exemple autant pour le plafond de verre que le congé de paternité. J'aime beaucoup le concept du roman et ça donne envie qu'une femme essaie pour voir! Mais J'avais plus l'impression de lire le journal intime de Constance, entrecoupé au début d'un manuel d'instructions, qu'un roman.
Mais ça fait réfléchir, alors je dirais que l'histoire a fait son travail. :)
Je sais que certaines personnes avaient vu venir la fin, mais personnellement, je suis nulle pour deviner les conclusions et les mystères. Cette fin fut donc une surprise complète et vraiment appréciée. Clamp est reconnu pour ses conclusions au mieux douces-amères, au pire tragiques. Là, ni l'un ni l'autre. Plus encore, on a une fin de conte de fées! Plusieurs n'aimeront peut-être pas l'enrobage rose bonbon, mais pour ma part, J'étais dans un état d'esprit pour ça et je l'ai beaucoup aimé.
Je dois aussi ajouter que pour une série qui date de plus de 20 ans, elle a très bien vieillie. Finalement, les dessins sont magnifiques, comme d'habitude.
Comme beaucoup l'ont dit, c'était une lecture vraiment bizarre, inégale mais malgré tout intrigante. La frontière entre l'imagination et le réel est très floue, ce qui amène quelques questions sans réponse, comme la fin. Est-ce que Jonah, en bout de ligne, est aussi une création de Sam? Est-ce que tout ce qui concerne la magie, les hybrides, bref tout ce qui n'est pas normal dans la réalité n'était que l'histoire de Samantha pour son mémoire, comme quelqu'un l'a mentionné?
Tout de même, l'écriture en elle-même est belle et sensuelle. Je pourrais sûrement lire autre chose de l'autrice si l'histoire m'intéresse.
Une relecture. C'est une charmante petite série dont le premier tome m'avait tout de suite happée. Kanami est tellement charmante et on veut tellement la prendre dans nos bras. Ce que fait son frère en location, qui est lui aussi si charmant.
Petite histoire sans trop de cassage de tête et au charme un peu suranné, mais qui peut quand même faire encore mouche. Si on passe outre le sexisme et l'homophobie de l'époque, on peut passer un bon moment. J'avoue l'avoir lu à cause du chat. :)
J'avais acheté ma copie et je ne la garderai pas, mais je vais probablement louer la suite. J'espère par contre que les mentalités vont s'améliorer au fil des livres. (Sérieusement, un personnage féminin à l'allure masculine et sous-entendu lesbienne nommée Butchy... pas fort.)
Mon tome préféré. Kanami ne voulait plus louer Makoto alors ce dernier lui propose de la louer, elle, comme soeur. J'ai adoré ces moments qu'ils passent ensemble, de même que les rencontres des familles des amis de Makoto.
Kazutaka est encore plus méchant et je dois dire que la direction que prenait la série à la fin du tome me comblait. J'adore Makoto, sérieux. Le fait qu'il veut carrément que Kanami vienne habiter chez lui pour qu'il puisse en prendre soin est génial. Même ses amis (et leur famille) veulent l'aider. Et à la fin, c'est que Kanami veut aussi.
Dans ce tome, on approfondi certaines relations, surtout fraternelles. J'ai justement aimé la discussion sur les frères et sœurs dans les contes.
Toujours aussi agréable, j'aime bien quand ça parle des affinités qu'on peut avoir avec tel livre, mais pas avec un autre. C'est sûr qu'on ne peut pas aimer tout ce que nos amis et connaissances aiment, mais c'est chouette quand on tombe sur une personne qui a aimé le même livre que nous.
Dans les séries récentes, c'est l'une de mes séries préférées, autant pour le dessin que l'histoire. J'aime beaucoup la fin de ce tome, la mangaka nous amène dans une direction dont je ne m'entendais pas.
J'ai vu plusieurs adaptations d'Agatha Christie, mais je n'avais lu que « Ils étaient dix » d'elle. Voici donc mon premier Poirot! C'est sûr que par bien des aspects, l'histoire et le style sont un brin vieillots. Mais ce n'est pas pour rien que cette autrice est la reine des « whodunnit » : l'enquête est prenante, on se laisse prendre au jeu d'essayer de deviner le/la coupable pour en bout de ligne se dire que malgré les indices (maintenant évidents), on n'aurait jamais trouvé.
J'ajoute que j'ai eu de la chance, je n'avais jamais vu d'adaptation de cette histoire alors la surprise a été totale!
Le meilleur des trois, même si en bout de ligne, ça ne sauve pas la série. Il y a avait un potentiel, mais il manquait quelque chose pour que ça marche vraiment. Et non, ce n'était pas une série en 3 volumes, elle a juste été abandonnée.
Après avoir appris que les fables d'Ésope étaient ce qui avaient inspiré les fables de la Fontaine, j'étais curieuse. On avait justement cette belle édition récente à la bibliothèque. Les illustrations sont magnifiques et j'ai apprécié la majorité des fables.
Par contre, il y en a plusieurs qui, en bout de ligne, veulent dire la même chose. On a donc une sensation de répétition. En même temps, c'est un livre pour enfants et les enfants aiment souvent ça, la répétition.
Aussi, on voit que les histoires datent de très longtemps car certaines ne sont plus vraiment d'actualité et sont plutôt simplistes. Un méchant reste un méchant et c'est la faute du gentil s'il fait confiance à un méchant qui le trahira plus tard, car ce dernier ne changera jamais sa nature profonde. Ouain... c'est sûr qu'à l'époque, il n'y avait pas de psys!
Finalement, même si les animaux sont juste utilisés comme un miroir aux comportements des humains, je n'ai pas aimé que les loups et les renards étaient presque toujours considérés comme des méchants. Surtout le loup. Qu'on le veuille ou non, ça rentre dans notre subconscient. Pendant longtemps (et encore aujourd'hui), le loup est l'animal a abattre car on lui donne des intentions et des caractéristiques qu'il n'a pas.
Ce n'est pas vraiment une critique envers le livre lui-même, plus une constatation que le mythe du “grand méchant loup” date de très longtemps.
P.S. À noter que dans ce livre, il n'y a que les fables qui concernent les animaux.
A very good anthology, with very different stories. I really love this diversity where I could go from a chilling tale to an humorous one. I also love this author's writing, it brings you easily into her world. I strongly recommend this book to fantasy and horror fans. :)
Histoire originale, avec peut-être quelques longueurs quand les personnages partaient sur des réflexions philosophiques. Mais je crois que ça fait parti du style de l'auteur étant donné qu'on avait aussi ce genre de pensées dans L'art de courir sous la pluie (mais me semble que ça passait mieux quand c'était Enzo!).
Par contre, la fin m'a agréablement surprise, même si elle est douce-amère.
J'aime les Higgins pour leur structure sans surprise, mais j'avoue que parfois, ça devient un peu redondant.
Ici, on change un peu le cadre classique en envoyant l'inspecteur à Bordeaux. En général, on a toujours quelques leçons d'histoire, mais là, on a vraiment envie d'aller découvrir cette ville. Les personnages sont typiques d'un Higgins, un peu stéréotypés. Toutefois, l'un.e était vraiment méprisable et un.e autre, adorable. Je les ai vraiment apprécié.es.
Et si j'ai réussi à découvrir qui était l'assassin (yoohoo! un miracle pour moi!), je n'avais pas vu venir le dernier revirement de la fin. Juste pour cette fin triste et touchante, ça mérite un 5*.
C'est un livre plein de douceur, surtout dans la façon d'aborder la dépression chez les jeunes. Par contre, je dirais que la fin est un peu trop légère pour le propos. Et un peu abrupte aussi, j'aurais aimé un suivi sur l'état du garçon. Mais j'ai aimé cet univers feutré.
Magnifique conclusion. J'avais deviné quelques événements, d'autres ont été de bonnes surprises (la patronne est vraiment ratoureuse!). Jusqu'à la fin, on a senti non seulement l'amour des livres, mais aussi la passion des bibliothécaires (et leurs amis !) de transmettre cet amour.
Voici une série que tout le monde devrait lire. Les mordus de lecture, c'est évident, mais aussi les autres. Ceux et celles qui dénigrent les bibliothèques et leurs employés. Ça leur ouvriraient peut-être les yeux, heh.
Such a sweet story! A bit insta-love (especially the ending), but everything else just flows so smoothly, I can't be mad. I love the characters, I love Elliot's book hoarding problem (I can so relate to this!).
It's not a Christmas story, but I think it was a a nice one to read in the Holidays.
Oui, c'est de la lecture légère pas compliquée, mais c'est toujours plaisant à lire, des Higgins! Et celui-ci, c'est l'un de mes préférés, surtout pour la fin. J'espère qu'il va faire parti des rééditions que Christian Jacq est train de faire!
Magnifique. Encore une fois, les larmes nous montent aux yeux, tout en nous laissant sur une note d'espoir. Les trois jeunes, Astride, Kiara et Hatim, sont touchants chacun à leur façon. C'est rare de dire ça, mais voici une série quasi-parfaite. Quasi car me semble que je prendrais d'autres tomes!
C'est tout doux, les dessins tout comme l'histoire. À lire pour qui veut un baume à l'âme.