J'ai assez peu accroché au style d'écriture. Ça partait un peu trop dans tous les sens. L'utilisation des métonymies tous les 4 paragraphes n'a pas aidé.
La fin part complètement en couilles avec le déluge de morts qui dessert l'histoire. Cerise sur le gâteau avec l'inceste père fille.
Histoire d'amour qui ne réussit pas à Bussi. Le twist est surprenant mais trop long à être amené.
Je n'ai pas été convaincue par ce portrait de quinquagénaire et la psychologie de son personnage 20 ans plus tôt. Les personnages secondaires sont trop légers. Dommage.
J'ai adoré lire cette épopée familiale sur l'île de Castellamare. Ces histoires dans l'Histoire sont très joliment mises en scène ; les personnages tantôt attachants, tantôt exaspérants, entraînent sans mal le lecteur dans leur vie insulaire.
D'ailleurs, cette île de Castellamare prend toute sa puissance en tant que personnage principal au fil des pages au travers de l'attraction et la répulsion qu'elle exerce tour à tour sur les membres de la famille Esposito.
Une jolie lecture qui se dévore !
Un classique toujours agréable à relire. J'adore les passages sur le monde des mulefas, toujours génial de découvrir les us et coutumes d'un univers étranger.
Très joli conte yukon (pas sûre de l'orthographe) qui se dévore en quelques heures.
L'histoire derrière sa publication y ajoute un poids supplémentaire : n'oublions pas nos traditions et légendes !
Découverte de ces vignobles français tout à fait plaisante en compagnie qui l'est beaucoup moins. 2 étoiles pour cette initiation aux vins et à l'écriture.
Les personnages féminins sont caricaturaux et se disputent les faveurs de notre héros tout du long, c'est fatiguant. Le mobile des meurtres ne m'a pas convaincu, ni la personnalité du meurtrier censée être complexe (il est d'un ennui mortel).
Les femmes de ce livre servent la narration (et le personnage-détective) de part leur beauté et leurs corps mais il semblerait que ce soit trop épuisant pour l'auteur d'exploiter leurs compétences (psychologie, informatique, pour ne citer qu'elles).
Qu'est-ce que je retiens de cette enquête ?
Toutes les femmes de la région (la logeuse, la Parisienne, l'étudiante de 19 ans et la fille de la victime qui se traîne un complexe Oedipus, plus cliché tu meurs) veulent se taper cet Écossais qui s'endort sur son verre de vin toutes les 3 pages. Merci Peter May pour ces personnages de qualité à chier !
Concentré de clichés sur les hommes débordant de testostérone.. Cimer les perso féminins : une femme absente, la super-agente ne sert que les objectifs de Swagger, la petite fille qu'il décide d'enlever de son pays d'origine pour l'élever dans un pays dont elle ne parle par la langue, pff.
Lecture “douloureuse”, j'ai mis du temps à finir.
J'aime beaucoup les petites histoires qui nous emmènent dans l'Histoire et nous l'humanisent. Le destin croisé de ces 4 jeunes dans la Turquie d'hier se reflète dans celle d'aujourd'hui, avec de nombreux moments de poésie révolutionnaire.
Ultra intéressant et complexe. J'ai particulièrement accroché sur le chapitre sur la propagande qui analyse les liens sulfureux entre médias, politiques, santé et publicité.
Le rôle des enfants en tant que prescripteurs auprès de leurs parents est hallucinant.
Très beau roman graphique qui me donne envie de lire l'original. A mettre dans toutes les mains !
Joli conte nordique avec personnages féminins intéressants et complexes, et surtout elles sont puissantes !
De la passion à la haine, je l'ai dévoré. De plus, la nouvelle édition que j'ai eu entre les mains est agrémentée de magnifiques illustrations qui nous entraînent un peu plus loin dans ce grand nord.
J'ai eu du mal à entrer dans cette lecture, vu la quantité d'infos et de thèses décortiquées. Par petites doses, ultra intéressant sur la sérialité des femmes, à la fois carcan, prison et exutoire de la condition des femmes, des filles, des ladies.
J'ai mis du temps à entrer dans l'intrigue, j'ai poursuivi malgré la taille du bouquin et le chevalier Pardaillan (qui devient moins relou avec l'âge). Ma sœur adore cette série, je me devais de lui laisser une chance.
Je ne regrette pas ! Même si de nombreux passages sur les femmes me font tiquer : le personnage de Loïse bien plat, Fausta qui ne peut être vue comme papesse avec des remarques du style, "attention, les femmes belles ne peuvent que se préoccuper de belles choses" et autres remarques sur les ribaudes qui courent les rues de Paris.
J'ai été emportée par ce parti pris de mêler l'Histoire et l'histoire comme l'écrit si bien l'auteur. Une petite révision de la St-Barthélémy qui ne fait pas de mal et plutôt intéressant à remettre en perspective avec la désinformation, les fakes news que l'on connaît bien en 2021, la haine de l'autre, de l'inconnu.e cultivée par les intérêts de chacun.
Français correct mais l'intrigue, c'est du vu et revu : le méchant chef, l'impossibilité de contacter le vrai boss, le beau gosse qui se comporte comme un connard pour se révéler être l'amoureux transi. On s'emmerde et c'est à peine drôle, dommage !
Intrigue : intéressante. Les repas du commissaire Brunetti font saliver à leur lecture.
Mmh quoi? Livre plus prenant que les précédents tomes grâce aux nombreuses explorations des 2 Bene. Par contre, wtf le délire sur le cul ?
Très belle écriture, l'arc narratif de Souba nous fait voyager à travers le royaume et les personnalités de son père.
Plus sceptique sur les “chiennes de guerre”.
Magnifique solitude dans cette Amérique des colons. Le rythme d'écriture est relevé tout en faisant goûter le lecteur à l'immensité des plaines américaines.
Superbe.
Intéressant. Dommage que la majorité des illustrations soient déjà accessibles sur le compte insta.
C'est évidemment nécessaire de faire un point sur le consentement même si je pense que les personnes qui achètent ce livre sont déjà sensibilisées.
Euhhh WTF ?! OK pour le plaisir coupable pour le côté érotique dans l'Angleterre victorienne. Mais que dire de la scène (une parmi tant d'autres mais qui m'a grave mise mal à l'aise) où Daphné commence à exciter son nouveau mari endormi (allo viol conjugal, ils n'ont apparemment pas dit ok pour ce genre de délire) puis abuse de sa position pour forcer Simon à éjaculer en elle. Alors qu'il est clairement contre, j'ai halluciné.
Mais après tout, c'est le style général du livre j'en ai l'impression. Même si les personnages, féminins notamment, font preuve d'un semblant de modernisme (elles ripostent verbalement et physiquement), le délire général repose sur le principe d'un “non veut dire oui”. Les exemples sont multiples avec le couple Antony/Kate où elle le fuit/repousse/déteste et il continue de la harceler, puis fini par craquer. Bref, c'est vraiment le genre de littérature qui font rêver ses lecteurs (lectrices en majorité) à des romances non consenties. Le patriarcat a encore de beaux jours devant lui, culture du viol, merci !
Se reconstruire (?) après un viol, vivre avec, décider qui on veut devenir. Hyper fort avec une écriture puissante. J'ai été émue. A lire.