Ratings86
Average rating4.4
Considered an 'audacious' second novel, GIOVANNI'S ROOM is set in the 1950s Paris of American expatriates, liaisons, and violence. This now-classic story of a fated love triangle explores, with uncompromising clarity, the conflicts between desire, conventional morality and sexual identity.
Featured Prompt
2,097 booksWhen you think back on every book you've ever read, what are some of your favorites? These can be from any time of your life – books that resonated with you as a kid, ones that shaped your personal...
Reviews with the most likes.
If you want your heart ripped out by merciless, perfect prose, look no further than this book. As the San Francisco Chronicle described it: “violent, excruciating beauty.”
“You do not,” Giovanni cried, sitting up, “love anyone! You have never loved anyone, I am sure that you never will!”
Damn near perfect.
C'est la troisième fois que je lis ce roman, le deuxième de James Baldwin. La première fois, j'avais une vingtaine d'années et je l'avais lu en français. La deuxième fois, plus récemment, je l'avais relu, mais en anglais cette fois. Pour cette troisième lecture, j'ai à nouveau choisi la langue anglaise, d'autant que j'ai décidé de lire dans l'ordre les oeuvres principales de James Baldwin.
James Baldwin nous raconte une histoire qui peut aujourd'hui paraître banale : un américain trentenaire en séjour à Paris rencontre un jeune serveur italien avec lequel il vit une brève passion, avant de retrouver sa fiancée américaine de retour d'un séjour en Espagne. C'est d'abord une belle et tragique histoire d'amour dans le Paris des années 50. C'est aussi un témoignage sur cette époque qui peut nous paraître lointaine désormais. C'est en tout cas un livre magnifique, dont le récit est servi par une plume splendide.
I read this for the 2017 Read Harder Challenge: Read a Classic by an author of color. And I was reminded, of course, that classics are classic for a reason. This is a moving book, a pleasure to read, and I will probably read it again, just like I revisit Lolita every year or so. This review from the New Yorker is also worth reading.