Un monstre dans les céréales

Meli apprehende les deux jours, seule avec son père. Le monstre de la bôite de céréale devient son allie et confident. Elle lui fait part de ses doleances et de ses souhaits dont la disparition de son père. Ses premiers desirs exauces, Meli regrette car, tout compte fait, elle aime son papa et veut le garder. Ce récit redige dans un style decontracte, illustre avec humour un etat d'âme passager. [SDM].