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Les deux premiers albums de Silas Corey, qui formaient un premier cycle intitulé Le Réseau Aquila (1/2 et 2/2), m'avaient beaucoup plu. En 1917, alors que les combats faisaient rage entre la France et l'Allemagne, le détective inventé par Fabien Nury et dessiné par Pierre Alary enquêtait sur la mort d'un reporter qui investiguait sur une affaire d'espionnage.
Ce nouveau cycle, Le Testament Zarkoff, débute le 11 novembre 1918, jour de l'armistice :
Paris, 11 novembre 1918. Alors que la France célèbre sa victoire sur ce qui fut la guerre la plus sanglante de son histoire, un homme est poignardé au milieu de la foule en liesse. Silas Corey, trop occupé à s'encanailler dans les bouges avec des soldats en goguette, est alerté par son fidèle assistant Nam : la victime, une vieille connaissance du nom d'Albert Percochet, vient de succomber dans leur chambre d'hôtel. Essayant de comprendre les circonstances de sa mort, Corey mène l'enquête et découvre que son ami travaillait pour... Madame Zarkoff !
Retirée dans son manoir en Suisse après l'affaire Aquila, la baronne du trafic d'armes international n'en a plus pour longtemps à vivre. Et sa fortune fait des envieux : les principaux actionnaires de son empire se pressent à sa porte, chacun espérant récupérer sa part du gâteau. Mais il y a une chose qu'ils ignorent : la mère Zarkoff a un héritier et c'est maintenant Silas Corey qui est chargé de retrouver sa trace !